5 mythes sur le saut en parachute

Le saut en parachute est une activité d’aventure qui figure sur la liste des choses à faire pour de nombreuses personnes. Cependant, la peur, et le manque d’information, est l’un des principaux facteurs qui rebutent certaines personnes à l’idée de cette expérience.

L’origine de cette crainte est souvent due à certains des mythes qui ont toujours circulé sur ce sport. Et pour y mettre un terme une fois pour toutes, voici une liste des 5 mythes les plus répandus sur le parachutisme qui ne sont pas vraiment vrais.

Mythe 1 : Plus la hauteur est élevée, plus le danger est grand

Lors d’un saut en parachute, les sauts effectués à des altitudes plus élevées sont également très sûrs. L’équipement utilisé pour les sauts est très moderne et fabriqué avec grand soin. En outre, la technologie améliore encore la sécurité de ce sport.

Plus l’altitude est élevée, plus le temps de chute libre augmente, une autre raison pour laquelle les parachutistes préfèrent sauter à des altitudes plus élevées, car ils peuvent profiter davantage de la sensation de vol. Plus c’est haut, mieux c’est !

Mythe 2 : On ne peut pas respirer pendant le saut en parachute

Dans un saut en tandem par exemple, l’impression fait que le passager pense ou a l’impression qu’il ne peut pas respirer. Mais la respiration en chute libre se fait normalement, ce qui démonte ce mythe. Sans respiration, le parachutiste ne serait pas en mesure d’exécuter parfaitement les exercices et les procédures et ne pourrait pas profiter pleinement de la chute libre. Alors, lors de votre prochain saut, oubliez cela et respirez normalement ! Et qui sait, vous pourriez découvrir que vous sentez les nuages !

Mythe 3 : On peut parler pendant le saut en parachute

Bien que vous puissiez respirer normalement, parler à une telle vitesse, parfois supérieure à 200 km/h, n’est possible que dans les films. En effet, le bruit du vent est si fort qu’il est difficile d’entendre un autre son que celui du vent. Pour communiquer pendant un saut, les parachutistes utilisent différents signaux manuels pour tout indiquer, de la manœuvre ou de la direction du saut au moment où ils vont ouvrir leur parachute. Quoi qu’il en soit, il ne faut pas oublier que la chute libre est tellement excitante et amusante qu’il n’y a pas besoin de parler, il suffit de profiter !

Mythe 4 : Que se passe-t-il si le parachute ne s’ouvre pas ?

Peut-être la plus répandue et la plus redoutable lorsqu’il s’agit de sauter. Bien que le parachutisme soit un sport à risque, les accidents sont très rares de nos jours. L’une des raisons en est que l’évolution de la technologie des équipements assure avant tout une plus grande sécurité pour le sauteur.

Tant pour les sauts en tandem que pour les sauts d’élèves, tous les parachutes sont équipés d’un dispositif d’ouverture automatique appelé ADD (Automatic Activation Device) qui active automatiquement le parachute de secours à une hauteur sûre s’il détecte que le parachute n’est pas ouvert.

Il est important de rappeler que, dans tous les cas, il est nécessaire que le praticien respecte les règles de sécurité établies, augmentant ainsi non seulement la sécurité de son propre saut mais aussi celle des autres. En outre, il est important d’effectuer un saut en parachute avec une société réputée pour garantir que votre expérience soit totalement sûre.

Mythe 5 : Portez un masque à oxygène

Les sauts en parachute les plus courants sont effectués à environ 10-12 000 pieds. À cette altitude, vous pouvez respirer normalement sans l’aide d’un masque. Ce n’est qu’au-dessus de 5000 mètres qu’il est nécessaire d’utiliser un supplément d’oxygène pour aider la respiration et éviter que les parachutistes ne souffrent d’hypoxie, lorsque la concentration d’oxygène est trop faible dans les tissus humains.

Par conséquent, lors d’un saut en parachute classique, il n’est pas nécessaire d’utiliser des masques à oxygène.

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